Le CF Mounana, présidé et fondé par Hervé Patrick Opianga, est aujourd’hui au cœur d’un scandale de pédophilie impliquant des jeunes joueurs hébergés à Ozangué. Face à ces accusations graves, il est urgent que la justice et les familles des victimes se lèvent pour exiger des comptes et mettre fin à cette tragédie silencieuse.
Le CF Mounana, longtemps présenté comme un fleuron du football gabonais, voit son image ternie par des accusations graves de pédophilie survenues dans ses rangs. Sous la présidence de son fondateur, Hervé Patrick Opianga, des jeunes joueurs, hébergés à Ozangué dans des dortoirs censés leur offrir un cadre propice à leur épanouissement sportif, auraient subi des abus sexuels répétitifs. Ces révélations choquantes, qui commencent à sortir de l’ombre, dévoilent un système d’exploitation abject, perpétré dans le silence et l’impunité.
Il est inacceptable que des jeunes, confiés au club par leurs familles dans l’espoir d’une carrière prometteuse, aient été victimes de telles atrocités. Romain Molina, journaliste d’investigation, a déjà dénoncé dans ses enquêtes les pratiques abusives au sein du football africain, mentionnant spécifiquement des abus liés à la gestion du CF Mounana. Hervé Patrick Opianga, en tant que président et principal dirigeant du club, ne peut échapper à ses responsabilités. Son rôle, qu’il soit actif ou complice par omission, doit être clarifié.
Les familles des victimes doivent désormais sortir du silence. Leur courage est essentiel pour traduire ces actes en justice et empêcher que de tels crimes continuent de se perpétrer. Ces jeunes, qui sont les véritables victimes, méritent que leurs voix soient entendues et que les coupables soient sévèrement sanctionnés. À l’heure où les langues se délient, chaque plainte déposée représente un pas vers la vérité et la justice.
La justice gabonaise est également appelée à agir avec fermeté et impartialité. La présidence d’Opianga au CF Mounana ne doit en aucun cas le protéger des conséquences de ces actes. Si le football est un vecteur de rêve pour de nombreux jeunes, il ne doit jamais devenir un terrain fertile pour les abus et la souffrance. L’heure est venue de briser l’omerta et de prouver que plus aucun enfant gabonais ne subira de tels traitements. La main de la justice ne doit pas trembler : Hervé Patrick Opianga, et tous ceux impliqués dans ce scandale, doivent répondre de leurs actes. Pour les victimes, pour leurs familles, et pour le Gabon.
Dieu Merci Mbokani
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