Que se passe t’il donc à Moanda? Les revelations des Coulisses d’une tentative de manipulation de l’opinion!

Depuis quelques temps la cité minière est en ébullition. Il ne se passe pas un jour sans qu’on ne reçoive dans. nos telephones un message audio incendiaire visant a insulter Leod Paul Batolo, le depeignant de tribaliste. L’administrateur Directeur Général de la Comilog, car c’est de lui qu’il s’agit, fait face à une campagne de dénigrement sans précédent. Orchestrée par des individus tapis dans l’ombre, cette cabale utilise des activistes rémunérés pour manipuler l’opinion publique et tenter de nuire à l’image d’un dirigeant gabonais exemplaire, à la tête de l’une des cinq plus grandes entreprises du pays. ( en terme de chiffre d’affaires).

Incapables de l’attaquer sur sa compétence et la qualité irréprochable de sa gestion durant ces cinq dernières années, ces détracteurs ont choisi de se tourner vers un terrain dangereux et destructeur : le tribalisme. Leod Paul Batolo est accusé à tort d’une gestion fondée sur des préférences ethniques, un argument fallacieux qui oublie les nombreux hauts cadres de diverses origines auxquels il a donné une chance et promu au sein de la Comilog ou ailleurs.

À l’heure de la transition menée par le Président Général Brice Clotaire Oligui Nguema, où la méritocratie est mise en avant, ces accusations apparaissent comme une tentative désespérée de semer la division et la haine. Le président lui-même n’a pas été dupe de ces manœuvres, les dénonçant fermement lors de son passage à Moanda dans le cadre de la tournée républicaine.

Cette période de transition est une occasion unique pour le Gabon de tourner la page des erreurs du passé et de célébrer les succès mérités. Leo Paul Batolo représente un modèle de réussite professionnelle fondée sur la compétence, et il est essentiel que les Gabonais, en particulier les jeunes, puissent s’inspirer de son parcours.

Pour les habitants de Moanda, l’origine ethnique de Leod Paul Batolo importe peu. Ce n’est pas cela qui améliorera leur quotidien, créera des emplois ou élèvera leur qualité de vie. La promotion ethnique est une relique du passé herité d’un parti désormais suspendu, désormais révolue.

Dans cette nouvelle ère de transition, la seule question pertinente est celle de savoir si Leo Paul Batolo est un bon dirigeant pour la Comilog.

Pour répondre à cette question, il suffit de jeter un œil sur ses réalisations depuis qu’il a pris la tête de cette entreprise stratégique en janvier 2019.

Depuis son arrivée, l’entreprise consacre environ 6 milliards de FCFA chaque année à l’investissement communautaire. Ces fonds ont été utilisés pour réhabiliter des salles de classe, pavé des routes, installer des panneaux solaires, soutenir les jeunes entrepreneurs, et bien plus encore. Les actions de Batolo ont touché des milliers de Gabonais, améliorant concrètement leur vie quotidienne.

Parmi ceux-ci, on peut notamment citer la construction de 400 maisons à la Cité Lekolo 2, la réhabilitation de salles de classe impactant 10.000 enfants dans les communes de Moanda et de Bakoumba, le pavage de plus de 23 km de route, le déploiement de plus de 4500 panneaux solaires dans la province du Haut-Ogooué, la mise en place d’un fonds d’amorçage de 2 milliards destiné aux jeunes entrepreneurs en partenariat avec des établissements de microfinance ou encore le lancement de moteurs économiques locaux comme l’unité 3L des Pavés, l’Hôtel Buding ou la future miellerie de Djoutou. Autres actions fortes, un partenariat avec JFD Gabon a permis la formation aux métiers du digital du plus de 300 femmes gabonaises toutes régions confondues et un laboratoire de fabrication numérique (FabLab) a été créé en partenariat avec la mairie de Moanda. Celui-ci est à sa 2ème cohorte de jeunes sans emplois formés aux métiers du digital (robotique, conception web, design).

Pour les employés, le salaire brut le plus bas a progressé de 817.000FCFA à 995.000 FCFA (+178.000FCFA) entre 2020 et 2023 au travers des accords d’entreprise signés avec les partenaires sociaux.

En interne, Batolo a mené des transformations structurelles majeures, augmentant le nombre de directeurs nationaux au sein de l’entreprise et améliorant les conditions de travail des employés. Le salaire brut le plus bas a augmenté de manière significative, et plus de 640 Gabonais ont été recrutés au cours des cinq dernières années. Même dans les moments de crise, comme la pandémie de Covid-19, Batolo a veillé à protéger les emplois et la santé des employés de Comilog.

La vision de Leo Paul Batolo pour la Comilog ne se limite pas au développement économique. Il a également mis en place des projets sociaux et éducatifs, tels que des programmes de bourses pour les bacheliers gabonais et la création d’un laboratoire de fabrication numérique à Moanda. Ces initiatives témoignent de son engagement à long terme envers le développement durable de la communauté et du pays.

Un Dirigeant hors pair

À son arrivée, Comilog était le numéro 2 mondial avec une production annuelle de 4,8 millions de tonnes de manganèse. Cinq ans plus tard, sous sa direction, Comilog est devenue le leader mondial avec une production dépassant les 7 millions de tonnes, marquant ainsi une croissance remarquable. Cette expansion a été soutenue par l’ouverture du plateau Okouma en 2020, une première après 58 ans d’exploitation du plateau de Bangombé.

Sur le plan des infrastructures, Batolo a aussi renforcé la position de Comilog en tant que pionnier. Grâce à des investissements judicieux, Comilog est devenue la première entreprise en zone CEMAC à utiliser une plateforme de transbordement en haute mer, permettant l’embarquement de navires de 200 000 tonnes. Cette innovation a permis à l’entreprise de consolider sa position sur le marché mondial.

Les tentatives de diviser les Gabonais par le tribalisme sont non seulement vaines, mais aussi dangereuses. Leo Paul Batolo incarne un modèle de leadership et de réussite qui transcende les clivages ethniques. Ses états de service parlent d’eux-mêmes : un dirigeant compétent, visionnaire et profondément engagé pour le bien-être de la communauté. Dans cette ère de transition, il est plus que jamais nécessaire de soutenir les leaders comme lui, qui œuvrent pour un Gabon uni et prospère.

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