Pierre Claver Maganga Moussavou s’illustre une fois de plus par des pratiques déloyales et antidémocratiques. Accusé d’avoir accepté des fonds étrangers pour saboter le référendum constitutionnel, il démontre son mépris total pour la souveraineté nationale. Est-ce l’article qui limite les mandats ou celui qui interdit la succession familiale qui menace ses ambitions personnelles ? Sa posture dévoile son attachement à un système révolu, où les intérêts égoïstes dictaient les règles.
Alors que les Gabonais aspirent à un changement profond, Maganga Moussavou choisit de trahir son pays pour servir des puissances étrangères. Ce comportement est une insulte à la dignité du peuple et un coup porté à nos institutions. Ces réformes sont vitales pour tourner la page des privilèges héréditaires et des mandats sans fin, mais certains préfèrent les entraver pour préserver leur confort politique.
Nous disons STOP ! Le Gabon appartient aux Gabonais. Ni l’argent de l’étranger, ni les manœuvres des ennemis de la démocratie ne dicteront notre avenir. Aujourd’hui, c’est Gabon d’abord : “Nous-mêmes, nous-mêmes !” Cette trahison ne passera pas, car nous construisons un Gabon nouveau, libre et souverain, pour les générations à venir.
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